Distodrome #14, spécial « Le Cinéma français c’est de la merde ! »
Thématique du jour : Torturons les sales gosses !
Et pour fêter ça, un film EXCEPTIONNEL, un fleuron DINGUE du ciné français déviant, produit par ALAIN DELON et starring DELON ALAIN lui-même dans le rôle d’un mec bizarre qui fait irruption dans une maison d’enfants livrés à eux-mêmes, pour les manipuler et les dominer.. C’est complètement FOU.
Delon est GÉNIAL dans ce film. Absolument animal, félin, sauvage, pervers, terrifiant, le Alain est au FIRMAMENT ! Et c’est lui qui produit, peuve qu’à une époque il a pris des PUTAINS DE RISQUES, et joué avec son image, sa noirceur intérieure. Rien de moins.
Adapté d’un bouquin de Peter L. Dixon et Laird Koenig (La Petite fille au bout du chemin) par Serge Leroy et Christopher Frank (réal de L’Année des Méduses !), réalisé par le supercool Serge Leroy, véritable artisan du ciné de genre à la française (il a aussi signé La Traque ou Légitime Violence, deux autres films présents dans nos bouquins « Le Cinéma français c’est de la merde ! », bordel), le film bénéficie de la zique de Eric de Marsan, compositeur de b.o. pour L’Armée des ombres ou Le Cercle rouge de Melville, Pigalle la nuit, Les Spécialistes de Leconte.
Un FILM GÉNIAL, du genre qui peut, à lui seul vous faire hurler, nue : « LA VACHE, ILS SE SONT PAS FOUTUS DE MA GUEULE ! LE CINÉMA FRANÇAIS C’EST PAS DE LA MERDE DU TOUT, AU CONTRAIRE, C’EST SUBLIMEMENT DISTORDU ! »
T’as pas envie de crier « LA VACHE, ILS SE SONT PAS FOUTUS DE MA GUEULE ! LE CINÉMA FRANÇAIS C’EST PAS DE LA MERDE DU TOUT, AU CONTRAIRE, C’EST SUBLIMEMENT DISTORDU ! » nue, franchement ?
Avec en avant-programme, LA MOTHERFUCKIN’ PREMIÈRE du COURT-MÉTRAGE Chicken of the dead de Julien David, en présence de l’équipe !
+ Vidéos, surprises, trucs à gagner, et cette bonne humeur communicative qui n’appartient qu’à nous, reflet de nos terroirs.
Fuck yeah !
Christine 21
4, rue Christine, 75006
Carte UGC acceptée, ou 6€/8€
Jambes.
En partenariat avec Panic! Reverse, Broken Production, Metaluna store, Oh My Gore, et ta maman qui fait de bien bonnes choses.